18 février 2011




Deux photographie extraites d'une série, formats variables
Une vidéo de courte durée.
Marseille, Février2011.

Il y avait la fatigue et le froid du matin, dans ce labyrinthe tant parcouru, 
comme une énigme que nous devions résoudre. C'était une réalité en trompe l'œil, 
à partir de laquelle il fallait découvrir la richesse possible de la réalité.
Au bord de la rivière recommençaient le soir; et les caresses;
et l'importance d'un monde sans importance. 
Comme les yeux regardent beaucoup de choses confusément 
et n'en peuvent voir distinctement qu'une,
de même la volonté peut parfaitement tendre à divers objets
et ne peut parfaitement en aimer qu'un à la fois.
                                                                                               G.Debord 

Merci du cœur de la tête du ventre,
à ceux, qui se reconnaitrons ici.
Les quelques mots qu'il me manque,
pour combler d'un souffle commun,
ces petits coins de mélancolie.