" L’omniprésence du pronom nous dans parloar exprime un
rapport de force, une prise de parti qui serait diffuse et erratique. Il
s’agit peut-être de parvenir à restituer le nous d’une communauté sans cesse perdue et sans cesse retrouvée. Un nous
fait de singularités quelconques, sous plusieurs couches de
catastrophes : d’où les ruptures, les changements de directions et les
échos que de tels gestes impliquent face à une condition carcérale
élargie désormais à tous les champs de l’existence. "
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Un grand merci aux éditions pariah et à Julien Ladegaillerie