29 juillet 2011



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 Noircir les plans, aucune carte n'est faite pour la nuit.
Le liquide sec de nos vers.

Quelques morceaux de peinture au scanner
(avril/mai 2011)

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J'ai oublié l'énormité du temps.
Les agréments sans saisons
Employé à vivre

De retour sur ses vieux. Chemins de traverse, recoins peu éclairés.
Où poursuivre les nuits. de-mi-jour-née. De retour où. Tourne tourne. En rond.
Trop effrayé par la lumière- éblouie- suffocant- irrespirable- étouffé- 
Comme par le sel. Crise et poursuite passionnelle, r-e-t-e-n-i-r. 
Avec le ventre et l'agonie, de retour à la retenue. Agora.
Le silence où le cris. La difficulté du novice à. Ce qu'il reste de nœud. 
Ce qu'il reste de langue. Délié-hashé. Nous. Difficulté non pas. Ha!  -être compris, -entendons nous ;
Dialectique erronée. Animal nocturne A . Impulse Néron M. (tentative d'échange)
Retour de langue. Perte.Dans le ventre l'océan.
Encéphale marécage. (les rouleaux du temps) Le maillage défait-compressé.
Dis cohérence. Commune errance. L'objet-tend. Rance.
Tourne disque engrenage. Coulante-mécanique de la nostalgie.
L'industrie boucle l'industrie siècle. Aimant comme l'emeute.
Orchestre projectile. L'instrument brique symphonique nique.
(Cacophonie souple) Des sillons imprévues imprécis. Sur une pâte/pâle. Mot/Mord
Circulaire démesurée, le geste muet.
Dans le ventre sècheresse. Encéphale marrée basse.
Les cloisons môles du verbe. Méno-prose.